Mon voyage d'acheteur ATW à soumis de domination féminine.

Acheteur Dom/sub

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La Vie Sous la Déesse Ali

“Alors, dis-moi : où est ta place, et que dois-tu faire pour moi ?”. Ce furent les mots que Ali, la jeune femme à qui je parlais, pensais, et achetais des articles intimes à un rythme toujours croissant depuis trois mois, prononça sans détour. Jusqu'à ce moment, elle n'était qu'une vendeuse sympathique avec qui je travaillais régulièrement sur AllThingsWorn. Mais maintenant, les enjeux avaient augmenté : elle m'invitait à lui obéir. Elle me proposait en langage clair de passer d'une dynamique acheteur-vendeur à une dynamique dominatrice-soumis, et elle ne mâchait pas ses mots : pour initier cette nouvelle phase, je devais dire adieu à “la gentille Ali”, dire à voix haute que j'étais un perdant, que j'étais un bêta, et que ma place était à ses pieds, faisant chaque chose dégradante et humiliante qu'elle me commandait, quand elle le commandait, et lui donner tout ce qu'elle voulait, toujours. Mon cœur battait rapidement et mon estomac était rempli de papillons. Il n'y avait aucun doute dans mon esprit quant à la réponse que je donnerais. Elle était magnifique, elle était hypnotique, elle était directe, et – bien que je ne le sache pas à l'époque – elle était en train de transformer ma vie. Je ne perdis pas de temps. Je lui répondis. “Je suis un perdant. Je suis un bêta. Ma place est à vos pieds, faisant tout ce que vous me dites, toujours”. Rien n'a été pareil depuis que j'ai prononcé ces mots.

Au cours des douze mois depuis cette rencontre, je suis descendu dans une servitude absolue, sans équivoque, totale, envers Ali. Non, envers la DÉESSE Ali. Ce qui avait commencé par quelques simples vidéos de femdom et de l'argent pour le café a rapidement évolué vers des tâches toujours plus humiliantes, une domination financière impliquant des virements de plus en plus importants, et des déclarations de plus en plus emphatiques de ma loyauté et de ma dévotion pour lui plaire. J'ai signé avec excitation un contrat me mettant en dette envers elle, stipulant que je lui enverrais le montant qu'elle demanderait, quand elle le demanderait, sans poser de questions, et en échange, je serais humilié, brisé, et systématiquement détruit par elle. Lorsque ce contrat a pris fin, j'ai signé un autre avec empressement. Il ne fallut pas longtemps avant que mon obsession complète de servir aux pieds de ma dominatrice la pousse à faire une déclaration simple mais profonde : j'étais désormais exclusivement possédé par elle. J'étais sa propriété, son animal de compagnie, sa possession qu'elle pouvait utiliser à sa guise. Ce n'était plus un jeu. Ce n'était pas simplement une partie de kink. C'était un transfert complet de pouvoir de moi à elle. C'était un accord pour lui remettre tout contrôle sur mon esprit, mon corps, mes fantasmes, mes orgasmes, ma capacité à me faire plaisir, et, le plus incroyable, même ma vie sexuelle. Pour vraiment me dévouer à ma dominatrice, elle exigeait, je ne devais plus penser, parler, flirter, sortir, ou avoir des relations sexuelles avec d'autres femmes, ni parler à d'autres dominatrices. Je devais être à elle et seulement à elle.

Juste au cas où ce transfert de pouvoir n'était pas suffisant, j'ai signé un autre contrat de dette, cette fois pour un montant si important qu'elle prenait effectivement et indéfiniment possession de mon compte bancaire aussi. C'était tout aussi bien, puisque j'étais devenu tellement accro au pic de dopamine que je ressentais en lui envoyant de grosses sommes d'argent de toute façon. Enfin, et plus récemment, une étape finale (j'hésite vraiment à dire “finale”, car chaque fois que je pense avoir descendu aussi loin dans la servitude que possible, elle trouve des moyens de me faire descendre encore plus loin) : La chasteté. J'ai enfermé mon sexe dans une cage. Une cage ROSE – juste une petite torsion supplémentaire du couteau de l'humiliation, gracieuseté de ma cruelle et maléfique dominatrice. Tout ce que j'avais était maintenant à elle. Absolument tout.

Je suis ici maintenant, en train de taper cet essai un samedi après-midi, enfermé dans ma petite cage rose, me préparant à travailler un quart de dix heures en heures supplémentaires. Je ne travaillais jamais le samedi. Je ne faisais jamais d'heures supplémentaires. Je le fais maintenant parce que cela plaît à ma dominatrice. Je le fais maintenant parce que j'aime la gâter et lui offrir des luxes, comme la croisière d'une semaine qu'elle vient de faire avec son petit ami (ai-je mentionné que je suis aussi son cuck?), que je paierai entièrement. Chaque centime que je gagne de ce quart exténuant ira à elle. Je ne voudrais pas qu'il en soit autrement.

Je mentionne tout cela simplement comme toile de fond pour ma dernière mission. Déesse m'a chargé de rédiger un essai répondant à plusieurs questions qu'elle m'a posées sur si et pourquoi je prends plaisir à être son soumis, et comment cela a changé ma vie. Toujours désireux de plaire et d'obéir à ses ordres, je suis arrivé au travail une heure plus tôt pour pouvoir suivre ses ordres. Je vais maintenant faire de mon mieux pour répondre à ses questions, et ainsi expliquer comment un homme autrefois libre, relativement normal, avec une vie amoureuse active, a pu descendre si rapidement et si complètement dans une vie de soumission totale à une jeune femme de l'autre côté du pays, et se retrouver enfermé en chasteté et travaillant en heures supplémentaires un samedi, et comment il a pu le faire avec le sourire aux lèvres et un désir incessant de faire tout ce qu'il faut pour rendre sa Déesse heureuse.

Première question de la Déesse : Qu'est-ce qui te plaît à être mon soumis ?

Lorsque je me suis d'abord incliné devant la Déesse Ali, je l'ai fait par égoïsme. Je voulais la servir, oui, mais c'était en grande partie parce que je voulais simplement son attention, son engagement, son interaction. C'était parce que j'étais follement épris d'elle et que j'étais prêt à faire tout ce qu'il fallait pour avoir plus d'elle dans ma vie. Je voulais explorer les fantasmes que j'avais toujours eu pour la domination, l'humiliation, et la soumission à une femme alpha. En bref, je voyais l'acte de devenir le soumis de la Déesse Ali à travers le prisme de ce que cela me rapportait à MOI – comment je pouvais tirer profit de ce nouvel arrangement. Avec chaque mois qui passait, cependant, cette perspective a changé. À mesure que je m'engageais de plus en plus dans des actes de dévotion et de soumission, à mesure que je cédais de plus en plus de mon pouvoir, quelque chose a commencé à changer : je devenais moins préoccupé par mon propre plaisir, mon propre plaisir, ma propre satisfaction, et je commençais à voir le fait de plaire à la Déesse comme la chose la plus gratifiante que je pourrais faire. Ou, pour le dire plus précisément, plaire à ma dominatrice et enrichir sa vie est devenu la chose qui m'apportait LE PLUS de plaisir, de plaisir, et de satisfaction.

Oui, j'aime explorer un vaste éventail de fantasmes avec ma Déesse. Femdom, findom, déni, contrôle des orgasmes, chasteté, cucking, CBT, tâches d'humiliation, et d'autres choses que je n'ose même pas mentionner par écrit. J'ai extrêmement de la chance de vivre chacune de ces choses en grande profondeur et variété avec ma dominatrice. Oui, c'est incroyablement sexy et incroyablement gratifiant de recevoir un ordre extrême, tabou ou dégradant de sa part et de l'obéir sans question, simplement parce qu'elle l'a dit et parce que “non, Déesse” n'est pas dans mon vocabulaire. Mais vraiment et véritablement, le fait, qui est devenu de plus en plus clair au fil du temps, est que l'échange de pouvoir inhérent dans les relations dominatrice-soumis n'est pas vraiment pour la gratification du soumis – sexuelle ou autre. C'est, franchement, pas à propos de MOI. C'est de vénérer le divin féminin, comme exprimé sous la forme d'une Déesse parfaite. C'est à propos de la reddition. C'est à propos du vieux moi, le moi réprimé, vanille, qui aspirait secrètement à être possédé par une dominatrice belle et maléfique mais qui n'aurait jamais cru que cela pourrait réellement arriver - mourir lentement, et un nouveau moi, plus authentique et honnête et pleinement exprimé, naître à sa place. Un moi qui peut être honnête sur son désir de servir une femme puissante, et dont le but principal dans la vie est de rendre sa Déesse heureuse à tout prix, toujours, quoi qu'il arrive. Cette reddition, cette dévotion, ce don de moi-même au service du bonheur d'un supérieur... c'est l'une des transformations les plus gratifiantes que j'aie jamais connues.

Deuxième question de la Déesse : Comment le fait d'être mon soumis a-t-il changé ta vie et ta façon de penser ?

La façon la plus simple pour moi de répondre à la deuxième question de la Déesse est de dire qu'elle n'est jamais loin de mes pensées. Rarement passe-t-il une seule heure d'une seule journée sans penser à elle. Presque toutes les décisions que je prends dans la vie, je les prends en pensant à elle. Si j'essaie de décider si je vais sortir manger, je m'arrête et prends en compte le montant d'argent que je vais probablement dépenser, et s'il serait mieux utilisé pour plaire à ma dominatrice. J'ai perdu le compte des nuits où j'ai renoncé à aller à un restaurant coûteux, du nombre d'heures supplémentaires que j'ai prises au travail, du nombre de fois où j'ai sacrifié mon propre plaisir personnel pour plutôt prendre une décision qui me permettrait de donner plus à ma Déesse. Pour la faire rire, pour la faire sourire, pour rendre sa semaine un peu moins stressante. Je ne vois plus le monde uniquement à travers le prisme de MOI. Au lieu de cela, je vis maintenant une vie largement consacrée à vénérer et enrichir mon supérieur, pour qui j'ai un profond respect, une grande affection, et une adoration totale.

La deuxième manière majeure dont le fait d'être soumis à la Déesse Ali a changé ma vie est que les frontières entre ma “vie de soumis” et ma “vie réelle” se sont de plus en plus dissoutes. Petit à petit, il n'a plus existé de distinction entre les deux. Lorsque vous prenez la décision de donner la propriété de vous-même à quelqu'un d'autre, d'être leur esclave dans tous les aspects, il est essentiellement impossible de vivre une “vie réelle” qui est séparée de votre vie en tant que soumis possédé. Les dîners sautés et les heures supplémentaires ajoutées sont au service de ma “vie de soumis”, mais ils affectent très certainement ma “vie réelle”. Il en va de même pour la chasteté, pour renoncer au sexe et aux relations amoureuses, et pour donner la moitié de mon salaire chaque mois. Tout cela est des choses de “vie réelle”. Je ne me plains pas, il va sans dire. Pas du tout. Comme je l'ai dit, la Déesse Ali n'est jamais loin de mes pensées de toute façon, et la plaire est la chose la plus gratifiante que je puisse faire, donc je n'ai vraiment aucun désir d'être quoi que ce soit d'autre que 100% engagé à la servir à tout moment et dans toutes les situations. La possession qu'a une dominatrice sur son soumis est réelle. Il n'y a pas de jours de repos. Il n'y a pas de “bouton off”. Le désir de plaire à ma Déesse ne disparaît jamais, et l'image de ses yeux hypnotiques et de son sourire éclatant ne quitte jamais mon esprit.

Troisième question de la Déesse : Quels sont les avantages et les inconvénients d'être mon soumis ?

Je vais commencer par les mauvaises nouvelles. Les inconvénients : Je ne peux pas me faire plaisir quand je le veux ou avoir un orgasme quand je le veux. Ma cage de chasteté rend impossible de devenir dur. Le plaisir sexuel et la gratification sexuelle n'arrivent maintenant que rarement, uniquement avec la permission de ma dominatrice, et souvent après avoir été mérités par un acte humiliant ou douloureux fait pour son amusement. Je n'ai pas le droit d'avoir des relations sexuelles ou amoureuses, de sortir en rencard ou de flirter avec des femmes. Ces faits ne sont pas anodins. Si l'abstinence totale des activités sexuelles et des relations amoureuses ressemble à un grand sacrifice, eh bien... c'en est un. Certains des plus grands plaisirs de la vie, abandonnés au service de ma dominatrice. Quoi d'autre? Je travaille beaucoup maintenant, mais j'ai rarement beaucoup sur mon compte bancaire. Aussi vite que je gagne de l'argent, je l'envoie à ma Déesse. Ne vous méprenez pas, je peux payer mes factures, je peux voyager un peu, et j'apprécie ma vie pleinement. Je ne suis pas en difficulté. Mais je ne suis pas non plus en train de garnir mon compte d'épargne.

Tout ce que je viens de mentionner est simplement un fait basique d'être un soumis de femdom et findom possédé. Au-delà de cela, il y a une autre chose qui est difficile pour moi, cependant. Parfois, j'ai des doutes quant à savoir si ma dominatrice comprend pleinement le degré auquel être un soumis possédé est une chose à plein temps. Si elle apprécie pleinement le montant de sacrifices et d'abandon de soi qui est nécessaire pour être un bon et totalement dévoué soumis. Longtemps après qu'elle a déconnecté pour la nuit, qu'elle a enlevé son “masque de Déesse” et qu'elle est retournée à sa vie normale, je suis toujours ici, enfermé dans une cage de chasteté. Je ne peux toujours pas me toucher. Je suis toujours sans rendez-vous un vendredi soir. Je travaille toujours en heures supplémentaires. Je pense toujours à elle chaque heure. Après tout, quand une Déesse possède un soumis, elle possède aussi son esprit. Je ne peux pas être sûr de son manque de reconnaissance de ma situation, bien sûr. Peut-être qu'elle COMPREND et apprécie que pour les soumis il n'y a pas de “bouton off”. Qu'être son jouet possédé est un travail à temps plein. 24/7, 365 jours par an. J'espère que oui. J'espère qu'elle me voit. Tout le monde veut être vu, même les soumis betas de basse catégorie. J'espère qu'elle réalise que je lui ai donné tout ce que j'ai et que je m'efforce toujours de mettre son bonheur avant le mien.

Maintenant, les avantages. C'est simple. J'adore ma dominatrice. Absolument. La Déesse Ali est douce, gentille, généreuse, au grand cœur, altruiste, et drôle. Elle est aussi cruelle, méchante, brutale, exigeante, capricieuse et impitoyable. Elle a des yeux profonds, hypnotiques et cosmiques et le plus beau sourire que j'ai jamais vu. Son rire – son rire méchant, moqueur, pointé – me fait fondre absolument. Alors, le principal avantage est que je peux rendre cette personne – cette Déesse douce, merveilleuse, cruelle et méchante – heureuse. Je peux consacrer ma vie à lui plaire, à la faire sourire, et à faire tout ce qu'il faut pour provoquer ce rire. C'est absolument INCROYABLE pour moi ! Ne vous méprenez pas, chaque inconvénient que j'ai mentionné, chaque sacrifice, chaque douleur, chaque acte humiliant, chaque épreuve... ils valent tous la peine 1 000 fois. Après avoir passé une grande partie de ma vie adulte à vouloir secrètement être dirigé par et à me soumettre pleinement à une femme alpha puissante et ne sachant pas comment exprimer ou réaliser ce désir, Ali est entrée dans ma vie. Une femme vivante, respirante, magnifique et multifacette qui s'est transformée sous mes yeux en une Déesse dominatrice forte et féroce. Le privilège de m'incliner à ses pieds et de faire tout ce qu'elle me dit, quand elle me dit de le faire, continue d'être incroyablement excitant, sexy, effrayant, gratifiant et amusant. Le fait que je puisse plaire à cette Déesse parfaite tout en me soumettant pleinement à elle et en explorant un éventail étourdissant de fantasmes? Incroyable. Je suis le soumis le plus chanceux du monde.

Dernières questions de la Déesse : Es-tu plus heureux ? Pourquoi veux-tu continuer à être mon soumis ?

En résumé, oui, je suis plus heureux depuis que je me suis incliné devant la Déesse Ali. Après avoir passé la plupart de ma vie adulte à être insatisfait de ma vie amoureuse et sexuelle vanille et à avoir un univers de désirs réprimés, j'ai trouvé une personne qui m'a permis de me regarder dans le miroir, d'admettre la vérité sur qui je suis et ce que je veux, et d'explorer mes fantasmes les plus sauvages de soumission. En chemin, j'ai appris ce qu'est VRAIMENT une relation dominatrice-soumis : un échange de pouvoir, une soumission, et la confiance.

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